John
Locke Second
Traité du Gouvernement civil (1690)
chapitre V, De la Propriété.
Avertissement.
- Le
chapitre est donné en version bilingue.
- Le
texte en langue originale est celui qui figure dans l'édition
critique que Peter Laslett a réalisée des deux traités
de gouvernement (John Locke, Two Treatises of Government. A critical
edition with an introduction and apparatus criticus by Peter Laslett
(revised edition). New York and Scarborough, The New American Library,
1965 : 327-344.).
- J'ai
entièrement refait la traduction de ce chapitre que j'avais publiée
sous le titre à l'ancienne, Pièces diverses de M. John
Locke, Editées à l'Usage de l'AMATEUR & à
son Agrement. A Paris, Chez le MAUSS, 1983. Ce travail s'inscrit ainsi
(ce qui ne veut malheureusement pas dire qu'il se hisse à son
niveau) dans l'éblouissante définition par laquelle Barbara
Cassin ouvre son Parménide : "Je propose d'appeler "intraduisible"
non pas ce qu'on ne traduit pas, mais ce qu'on n'en finit pas de traduire,
donc aussi ce qu'on ne cesse pas de ne pas traduire." (Parménide, Sur la nature ou sur l'étant. La langue de l'être?
présenté, traduit et commenté par Barbara Cassin.
Paris, Editions du Seuil, 1998. 9).
- Les
deux versions, l'originale et sa traduction en français, sont
techniquement couplées, de sorte qu'en "clicquant"
sur les différents paragraphes, aussi bien dans un cadre que
dans l'autre, on obtient son vis-à-vis.
- J'ai
ajouté, sous forme de fenêtre supplémentaire, une
table permettant de se déplacer rapidement, toujours de façon
couplée, d'un point à l'autre du chapitre. Ce faisant
les pages font coexister deux langages de programmation distincts, dont
j'ai vérifié le bon fonctionnement, à cette réserve
près toutefois que sous Netscape il convient d'éviter
tout mouvement ou déplacement trop précipité. Pour
certains lecteurs, si la table ne leur apparaît pas, c'est simplement
que la version de leur navigateur ne l'admet pas et qu'ils naviguent
au sein d'une présentation peut-être moins attrayante,
mais qui normalement ne pose aucun problème.
paulette
taieb, nov.1998.
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